Nous avons débattu en hémicycle au sujet de la proposition de législation européenne sur la liberté des médias. Nous avons gagné un premier combat : un contenu sur les réseaux sociaux ne pourra être supprimé que par un être humain. Nous avons défendu un second amendement avec ma collègue Sarah Legrain, notifiant qu’aucun contenu ne puisse être supprimé sans décision de justice. Une simple application de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. Les macronistes refusent. Cela nous a permis de découvrir un point positif : le gouvernement se rend compte qu’il y a un problème de concentration dans les médias. Il s’agirait désormais d’agir.
Incroyable mais vrai : hier, les macronistes ont découvert qu'il existait un problème de concentration dans les médias.
— Antoine Léaument 🇫🇷 (@ALeaument) January 18, 2023
On a franchi un cap !
S'ils agissaient pour casser cette concentration, ce serait mieux en revanche… pic.twitter.com/KxkwH5tAaP
Hier, après avoir gagné le fait qu'un contenu sur les réseaux sociaux ne puisse être censuré autrement que par un être humain…
— Antoine Léaument 🇫🇷 (@ALeaument) January 18, 2023
…nous proposions avec @S_Legrain qu'un contenu ne puisse être retiré sans décision de justice.
Bref, nous proposions de respecter la DDHC.
Refusé. pic.twitter.com/T18bcoYice