Le 2 octobre 2018, j’étais l’invité de Patrice Boisfer pour parler de la démission à rebondissements de Gérard Collomb. J’ai expliqué que cet évènement rocambolesque était la preuve de la décomposition avancée de la macronie seulement un mois après la démission de Nicolas Hulot.
J’ai également dit que la démission du ministre de l’Intérieur au moment où les forces de police opéraient une intervention anti-terroriste était un mauvais signal envoyé aux personnels. Et j’ai également dénoncé le manque de moyen dans la police.
Enfin, j’ai soutenu l’action des députés de la France insoumise qui ont brandi des pancartes «bon débarras» pour le départ de Manuel Valls. J’ai expliqué que les Français détestaient l’ancien Premier ministre, coupable d’avoir trahi tous ses engagements politiques au cours des cinq dernières années.