Nous avons débattu en hémicycle au sujet de la proposition de législation européenne sur la liberté des médias. Nous avons gagné un premier combat : un contenu sur les réseaux sociaux ne pourra être supprimé que par un être humain. Nous avons défendu un second amendement avec ma collègue Sarah Legrain, notifiant qu’aucun contenu ne puisse être supprimé sans décision de justice. Une simple application de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. Les macronistes refusent. Cela nous a permis de découvrir un point positif : le gouvernement se rend compte qu’il y a un problème de concentration dans les médias. Il s’agirait désormais d’agir.
Proposition de législation européenne sur la liberté des médias
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